17 juin 2012-Bruxelles- source lEcho.be
A partir
du 1er janvier 2013, les hôpitaux ne
pourront plus demander
de suppléments d’honoraires aux patients en chambre commune
ou à deux
lits. Prévue dans l’accord de gouvernement, cette mesure est au cœur
d’un projet de loi déposé par Laurette Onkelinx.
Depuis le
1er janvier 2010, les hôpitaux ne pouvaient déjà plus facturer de
suppléments
au prix des chambres communes ou à deux lits.
En
revanche,
sur le plan médical, les médecins non conventionnés pouvaient
toujours
facturer
des suppléments d’honoraires dans ce type de chambre, sauf
dans le cas des patients "omnio" (ex-vipo).
Dans les
faits, la plupart des hôpitaux du pays avaient pourtant mis fin à cette
pratique d’honoraires supplémentaires en chambre commune ou à deux
lits. Dix-sept
établissements n’y ont cependant toujours pas renoncé
(voir tableau ci-dessous). Ce sont
donc eux qui sont clairement visés
par le projet Onkelinx.
partir
du 1er janvier 2013, les hôpitaux ne
pourront plus demander
de suppléments d’honoraires aux patients en chambre commune
ou à deux
lits. Prévue dans l’accord de gouvernement, cette mesure est au cœur
d’un projet de loi déposé par Laurette Onkelinx.
Depuis le
1er janvier 2010, les hôpitaux ne pouvaient déjà plus facturer de
suppléments
au prix des chambres communes ou à deux lits. C’est la
facture "hôtelière", si
l’on peut dire.
En
revanche,
sur le plan médical, les médecins non conventionnés pouvaient
toujours
facturer des suppléments d’honoraires dans ce type de chambre, sauf
dans le cas des patients "omnio" (ex-vipo).
Dans les
faits, la plupart des hôpitaux du pays avaient pourtant mis fin à cette
pratique d’honoraires supplémentaires en chambre commune ou à deux
lits. Dix-sept
établissements n’y ont cependant toujours pas renoncé
(voir tableau ci-dessous). Ce sont
donc eux qui sont clairement visés
par le projet Onkelinx.
partir
du 1er janvier 2013, les hôpitaux ne
pourront plus demander
de suppléments d’honoraires aux patients en chambre commune
ou à deux
lits. Prévue dans l’accord de gouvernement, cette mesure est au cœur
d’un projet de loi déposé par Laurette Onkelinx.
Depuis le
1er janvier 2010, les hôpitaux ne pouvaient déjà plus facturer de
suppléments
au prix des chambres communes ou à deux lits. C’est la
facture "hôtelière", si
l’on peut dire.
En
revanche,
sur le plan médical, les médecins non conventionnés pouvaient
toujours
facturer des suppléments d’honoraires dans ce type de chambre, sauf
dans le cas des patients "omnio" (ex-vipo).
Dans les
faits, la plupart des hôpitaux du pays avaient pourtant mis fin à cette
pratique d’honoraires supplémentaires en chambre commune ou à deux
lits. Dix-sept
établissements n’y ont cependant toujours pas renoncé
(voir tableau ci-dessous). Ce sont
donc eux qui sont clairement visés
par le projet Onkelinx.
À
partir
du 1er janvier 2013, les hôpitaux ne
pourront plus demander
de suppléments d’honoraires aux patients en chambre commune
ou à deux
lits. Prévue dans l’accord de gouvernement, cette mesure est au cœur
d’un projet de loi déposé par Laurette Onkelinx.
Depuis le
1er janvier 2010, les hôpitaux ne pouvaient déjà plus facturer de
suppléments
au prix des chambres communes ou à deux lits. C’est la
facture "hôtelière", si
l’on peut dire.
En
revanche,
sur le plan médical, les médecins non conventionnés pouvaient
toujours
facturer des suppléments d’honoraires dans ce type de chambre, sauf
dans le cas des patients "omnio" (ex-vipo).
Dans les
faits, la plupart des hôpitaux du pays avaient pourtant mis fin à cette
pratique d’honoraires supplémentaires en chambre commune ou à deux
lits. Dix-sept
établissements n’y ont cependant toujours pas renoncé
(voir tableau ci-dessous). Ce sont
donc eux qui sont clairement visés
par le projet Onkelinx.
http://monargent.lecho.be/budget_et_temps_libre/bien_etre/Fin_des_supplements_de_chambre_commune_ou_a_2_lits_a_l_hopital.9203709-2226.art
À
partir
du 1er janvier 2013, les hôpitaux ne
pourront plus demander
de suppléments d’honoraires aux patients en chambre commune
ou à deux
lits. Prévue dans l’accord de gouvernement, cette mesure est au cœur
d’un projet de loi déposé par Laurette Onkelinx.
Depuis le
1er janvier 2010, les hôpitaux ne pouvaient déjà plus facturer de
suppléments
au prix des chambres communes ou à deux lits. C’est la
facture "hôtelière", si
l’on peut dire.
En
revanche,
sur le plan médical, les médecins non conventionnés pouvaient
toujours
facturer des suppléments d’honoraires dans ce type de chambre, sauf
dans le cas des patients "omnio" (ex-vipo).
Dans les
faits, la plupart des hôpitaux du pays avaient pourtant mis fin à cette
pratique d’honoraires supplémentaires en chambre commune ou à deux
lits. Dix-sept
établissements n’y ont cependant toujours pas renoncé
(voir tableau ci-dessous). Ce sont
donc eux qui sont clairement visés
par le projet Onkelinx.
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